Le
Maître Ecuyer
Leçon 1 - mets toi à la place du cheval
Il y a quelques temps dans notre région il y avait un maître équestre qui avait la réputation d’une grande sensibilité et complicité avec ses chevaux. Il s’avérait aussi qu’il avait le don de transmettre ses connaissances à ses élèves qui devenaient tous des cavaliers et cavalières d’exception.
J’avais entendu dire qu’il utilisait des méthodes peu communes, mais les détails de ses méthodes ne dépassaient pas les portes de ses écuries.
Il prenait très peu d’élèves chez lui car il disait que l’apprentissage de ses élèves était presque aussi important que le dressage de ses chevaux et qu’il n’avait pas assez de temps à consacrer à plusieurs élèves. J’étais donc très surprise lorsqu’il a accepté de me voir en vue d’un éventuel apprentissage.
Les écuries étaient impressionnantes : de grands vieux bâtiments d’une propreté irréprochable entourés de prés verts et ondulants. Chaque pré entouré d’une clôture en bois. Derrière les portes des boxes de grands chevaux de qualité nous regardaient avec une curiosité tranquille et continuait à manger leur foin. C’était le soir : le travail était fini et tout le monde était parti.
Le maître lui-même était aussi séduisant que ses écuries. Il avait des yeux d’acier qui te perçaient du regard et on avait l’impression d’être nu devant lui. Son pantalon de cheval impeccable, épousait à merveille ses jambes longues et fines et la bosse au milieu suggérait que ce n’était pas que ses chevaux qui étaient bien montés !
On terminait la visite à la sellerie ou il y avait une rangée impressionnante de selles, brides, harnais et cuirs de toutes descriptions dont l’odeur me remplissait les narines comme une drogue. Alors il se tournait vers moi et demandait en me regardant droit dans les yeux « Alors tu es sure de vouloir devenir mon élève ? De vouloir suivre toutes mes instructions ? »
Son regard créait un profond trouble en moi dont je ne connaissais pas la cause. Il m’a alors doucement mais fermement pris mes mains dans les siennes et avant que je me rendais compte de ce qu’il faisait, il m’a bandé les poignets avec une douce corde et m’a attachée fermement a une porte selle d’une hauteur qui m’obligeait à me pencher en avant. Troublée mais excitée je n’ai pas osée protester même lorsqu’il ma bandé les yeux d’un foulard.
J’ai ouvert ma bouche pour m’exprimer et trouvais tout d’un coup qu’il m’a coupé la parole avec un autre foulard qui m’empêchait de parler : j’avais l’impression d’être une pouliche qui recevait un mors pour la première fois. Il a fini par entourer mes chevilles de menottes et m’obligeait à bien écarter mes jambes par une barre. Pendant tout ce temps il ne prononçait pas un mot mais travaillait avec méthode et application : je tremblais.
Il prenait mon t-shirt dans ses deux mains et le tirait par-dessus ma tête et en le passant sur mes bras le posait sur la porte selle sur mes mains attachées. Je ne portais pas de soutien gorge et je sentais mes seins libres à l’air. Puis il a pris ma jupe et de la même manière la passait par-dessus ma tête, puis baissait un peu mon string pour bien exposer ma chatte qui était déjà trempée. Je sentais des gouttes qui descendaient mes cuisses et l’air sur mes seins et sur ma chatte.
Alors il a commencé à m’examiner de prés comme si j’étais un cheval qu’il examinait pour l’acheter : toujours aussi doucement mais d’une manière qui n’admettait pas de refus.
Mettant ses deux mains sur mes épaules ils les glissaient le long de mon dos épousant la forme de mes fesses et descendant mes jambes écartées. Puis avec une main de chaque côté de ma cuisse il descendait d’abord la jambe gauche et puis après la jambe droite. Puis il se mettait derrière moi et je sentais qu’il bandait dans son pantalon.
Un petit pause et lorsqu’il s’est penché sur moi, j’ai compris qu’il avait ôté sa chemise. Je sentais sa peau contre mon dos et reniflait son odeur mâle et excitant. Il prenait mes seins dans ses deux mains et en explorait chaque centimètre : il se tardait longuement sur mes tetons qui me faisait gémir de plaisir et j’essayais de frotter ma chatte contre lui. J’avais tellement envie d’être pris par lui et j’avais l’impression d’avoir la peau en feu tellement elle était devenue sensible à chaque toucher mais il a parlé pour la première fois « Patience ma belle » il murmurait « il faut mériter les récompenses. » Il reprenait les caresses de mon corps en tardant cette fois sur mes fesses, et lorsqu’il m’a introduit un doigt exploratoire dans ma chatte je me suis cabrée d’excitation, comblée par ce doigt qui tester tous les coins de mon intimité. Quand il était satisfait de son exploration il a sorti son doigt trempé et il l’a introduit doucement dans mon anus pour faire une autre exploration.
Il s’est levé, je ne savais pas ce qu’il faisait et lorsqu’il est revenu à côté de moi il me caressait encore le dos avec sa main gauche. J’ai senti une autre sensation sur mes seins : avec l’autre main il me caressait les seins avec une cravache puis il descendait la cravache sur ma ventre et me la passai sur le clitoris et la chatte. Puis tout d’un coup il m’a donné trois ou quatre coups avec la cravache sur mes fesses nues. J’avais les fesses en feu dans tous les sens du mot et j’imaginais les marques rouges qu’il a du y laisser et je me tortillais « Bouge pas » il m’a dit. Il m’a attrapé avec sa main gauche, ses doigts dans ma chatte, sa paume qui tenait mon pubis et ajoutait quelques coups fermes supplémentaires.
Je l’ai obéi puis j’ai senti ses mains caresser mes fesses rouges, les écarter et j’ai senti la cravache qui m’explorait mon intimité, me préparait, me chatouillait mes points les plus sensibles.
Il est revenu vers ma tête et il a enlevé le foulard de ma bouche ; il a pris ma tête entre ses deux mains et il l’a tourné vers lui. Puis avec une main qui tenait mon menton il entrait un doigt dans ma bouche et explorait ma bouche pendant que j’ai sucé son doigt. Il l’a retiré et a mouillé mes lèvres avec son doigt puis reprenant ma tête entre ses deux mains il a enfoncé son membre, grand et dur, au fond de ma gorge. Je l’ai sucé goulûment et il a poussé un grand soupir de plaisir. Il faisait des va et vient dans ma bouche qu’il remplissait à fond puis jusqu’avant de jouir il s’est retiré.
Il s’est mis à genoux entre mes jambes et s’est mis à caresser mon clitoris avec une main, tout en enfonçant un doigt dans ma chatte humide. La main sur mon clitoris était alors remplacée par sa langue qui m’excitait de plus en plus et mettant sa pouce dans ma chatte il fonçait son doigt dans le petit trou de derrière : j’en pouvais plus, tellement j’avais envie de jouir et chaque fois il s’est retiré juste avant.
Il s’est encore mis derrière moi me caressant d’avant en arrière, me massant les fesses et écartant mon petit trou. Puis il m’est entré de derrière profondément dans ma chatte qui m’a fait pousser un grand cri de plaisir. Je le sentais bouger en moi et c’était bon. Son sexe était long, fine et très dure, et je sentais qui ne pouvait plus tenir très longtemps.
Puis il a encore caressé mon clitoris et en me tenant dans ses mains il a ajouté encore quelques coups de reins très adroits et j’ai joui très fort. Finalement il s’est laissé jouir longuement avec un gros soupir. Il m’a tenu contre lui pour un moment en me caressant puis me détachait avec le même douceur et application qu’il a utilisé pour m’attacher
Finalement il m'a dit "Viens lundi à 9h, en tenue pour monter à cheval. Fais attention d'être bien présentée, mes élèves ne doivent jamais être mal peignés."